Exposition à l'Arboretum de la Perrée : Julian Poussier et David Thauvin

Exposition à l'Arboretum de la Perrée : Julian Poussier et David Thauvin

Venez découvrir à l'Arboretum de la Perrée les œuvres photographiques de Julian Poussier et la diffusion d'un film: des animaux en pleine nature !

Découvrez également le sculpteur David Thauvin : ses fleurs originales et ses amphibiens au milieu de l'eau !

Exposition ouverte à tous jusqu'au 24 mai

Julian POUSSIER :

Dessinateur industriel de métier, Julian Poussier trouve sa vocation de photographe animalier lors du confinement. Alors chez ses parents à Luzillé (dans le Blérois), dans le calme imposé, il constate que la nature reprend ses droits. Les animaux farouches de la forêt s’aventurent à nouveau dans les sous-bois, comme les chevreuils, qu’il aperçoit lors de ses sorties. Née d’une contrainte, celle du confinement, sa passion va le mener sur des sentiers de liberté et de nature. Il apprend à observer et patienter pour saisir l’instant.

Autodidacte, il se forme en suivant des tutoriels sur Youtube. Il y apprend la technique de la photographie animalière, ainsi que la post-production pour le traitement des photos. Les clichés d’oiseaux sont ses premiers entraînements. Il apprend également la science du terrain et à choisir le bon endroit.

Ce sont les réseaux sociaux, et plus particulièrement Instagram, qui vont lui donner une véritable notoriété. En un jour, sa photographie d’un rouge-gorge est « likée » par plus de 10.000 personnes. Le lendemain soir, ce sont 100 000 personnes qui ont aimé sa publication. Au final cette photographie sera vue plus de 2 millions de fois.

David Thauvin :

David Thauvin est né dans une petit ville du loir et Cher, Montrichard. Il a grandi dans un environnement éloigné du milieu artistique. A 16 ans, il quitte le Collège pour rentrer en apprentissage en pâtisserie. Il obtient un CAP pâtisser, puis un CAP chocolatier et son brevet de Maîtrise. Il devient formateur en pâtisserie et chocolaterie au Centre de Formation d’Apprentis à Blois.

En parallèle, il découvre la sculpture au foyer socio-culturel Courteline à Tours. Avec son professeur Marie-Joseph Stenne, il se familiarise avec l’argile, les techniques de base et l’anatomie.
S’il n’est pas facile pour lui d’exposer ses œuvres et se mettre à découvert, il apprécie le toucher avec la matière.
Comme il le dit : « Les mains d’un artiste ont un lien particulier avec la matière, et donnent la possibilité, par ce simple contact physique, de traduire une sensibilité ».